Eurometropole Strasbourg : Déplacement à vélo les zones de danger à éviter
Article parut dans 20mn
Certains cyclistes mettent la pédale douce à Strasbourg. La peur de l’accident les saisit en arrivant dans certaines rues ou intersections. Aujourd’hui, si l’Eurométropole dispose d’enquêtes sur les déplacements journaliers à vélo (+23 % entre 1997 et 2009), elle n’a pas encore cartographié les zones accidentogènes. Mais les cyclistes strasbourgeois connaissent les lieux à risques.
Itinéraire bis plutôt que d’emprunter la route des Romains
Ils citent notamment l’avenue des Vosges, la route de Brumath, la rue Boecklin, les boulevards de Lyon, Nancy ou Metz, où il n’y a pas de pistes cyclables. Certains axes disposent d’un espace réservé aux vélos mais n’en demeurent pas moins dangereux pour les Strasbourgeois.
Julien Tomasi préfère prendre un itinéraire bis plutôt que de passer par la route des Romains. L’homme joue la prudence plutôt que de se risquer sur cet axe où « la piste cyclable alterne entre la chaussée et le trottoir, voit des voitures tourner ou quitter une place de stationnement ». Le point le plus dangereux de la route des Romains : la Poste, au n°104. « On ramasse souvent des cyclistes là-bas », souligne ce pompier qui a gagné 10 courses cyclistes en 2014.
>> Strasbourg, quatrième ville la plus cyclable au monde.
Dans le même ordre d’idée, le Cadr 67 qualifie de dangereux « les deux axes principaux de Schiltigheim vers Strasbourg [route de Bischwiller et rue du Général-de-Gaulle], drainant les cyclistes qui arrivent de Hoenheim, de Bischheim et du nord ». Autre lieu sur lequel l’association pour la promotion du vélo alerte : la piste cyclable devant le Baggersee. Un accident dramatique à cet endroit s’est produit en septembre où une jeune fille de 17 ans a été écrasée par un camion.
Problèmes d’aménagement et de comportement
Le tunnel de la rue Georges-Wodli où cyclistes et automobiles se côtoient ne rassure pas Nicolas. Julien Tomasi cite également la rue du 22-novembre : « La piste cyclable se trouve coincée entre les voitures en stationnement et le trottoir. Il faut anticiper et être vigilant à l’ouverture des portières et aux piétons qui traversent ». On pourrait ajouter les vélos en contresens.
>> Carte des lieux redoutés par les cyclistes à Strasbourg.
Car des cyclistes mettent d’autres cyclistes en porte-à-faux en roulant en contresens sur certaines pistes. Sur celle de la rue du Vieux-Marché-aux-Poissons, c’est quotidien. Cycliste casqué, Jérémie a terminé deux fois à l’hôpital avec une fracture à cause d’un vélo roulant en sens inverse.
Lors des onze premiers mois de 2013, sur les 64 accidents impliquant un piéton, cinq l’étaient avec un vélo (9 en 2012)*. « Il y a des problèmes d’aménagement, reconnaît Jeff, animateur mécanicien à Bretz’Selle, mais il y a aussi le comportement de chacun. Cycliste, piéton et automobiliste. »
Du bon usage du « cédez-le-passage »
Face à la boutique de l’association où l’on peut venir réparer son vélo, il constate les incivilités et incompréhensions qui existent entre les trois modes de déplacement au moment d’aborder l’intersection entre la rue des Bouchers et la rue des Bœufs. A proximité, les « cédez-le-passage » aux croisements de la rue de la Porte de l’Hôpital et de la rue Spielmann ou de la rue des Bœufs et de la place d’Austerlitz font craindre aux cyclistes un vol plané devant l’attitude des voitures.
Audrey, elle, se méfie des priorités à droite dans les quartiers de l’Orangerie ou de la Robertsau. Car la prudence à vélo est aussi une question de code de la route.
*Donnés Police nationale. Précautions : accidents corporels de la circulation = impliquant au moins un véhicule et un blessé, faisant l’objet d’une procédure accident par les services de police.
Christophe Kern passe son Tour
Malgré de maigres espoirs encore ces deux derniers mois, Christophe Kern n’est plus cycliste professionnel après une saison 2014 qui lui laisse un goût d’inachevé. Avec son humilité, l’Alsacien retient au final « la chance » de ses douze années au plus haut niveau. Moments choisis au rythme du Tour de France.

Coéquipier modèle, Christophe Kern a accompli douze années de professionnalisme. Malgré des pépins récurrents, l’Alsacien n’a jamais baissé les bras pour achever sa carrière à la Japan Cup (27e ) en octobre dernier pour la sixième meilleure saison de sa carrière cycliste. Ses efforts ne lui ont pas permis de prolonger son bail après une année 2013 qui avait « épuisé [son] crédit », à cause d’un virus attrapé au Gabon. « Décembre, janvier, j’étais vraiment deg’ et j’ai eu un pincement au cœur avec Paris-Nice, c’est une page à tourner », dévoile celui qui a eu 34 ans le 18 janvier.
« J’ai senti deux pics dans mon genou »
Revenu en 2011 auprès de Jean-René Bernaudeau, avec qu’il avait finalisé sa formation chez les amateurs chez Vendée U avant de passer pro en 2003 sous l’appellation Brioches-La Boulangère, Christophe Kern pointe le moment où tout a basculé lors de cette même année. Après un mois de juin euphorique (lire ci-dessous), le Bas-Rhinois se revoit sur le Tour de France. « Au départ en Vendée, je suis monté dans ma chambre d’hôtel. Je suis redescendu au resto et j’ai senti deux pics dans mon genou. Sur le vélo, je ne sentais rien, même lors du chrono par équipes aux Essarts (2e étape). Mais lors du retour au calme avec Thomas (Voeckler) sur le petit plateau, je l’ai senti et à partir de là, j’ai eu mal tout le temps. Je n’ai pas accepté la douleur. C’était tout con, une tendinite, j’ai toujours eu les tendons fragiles. En juniors, c’était déjà long à guérir. Là, c’était le début des ondes de choc, j’en ai fait plein. » Soigner le mal par le mal a eu raison de son corps, avec un abandon lors de la 5e étape en Bretagne.
À son domicile de Rittershoffen, il a regardé Thomas Voeckler en jaune à la télévision. « Quand je voyais Thomas et Pierrot (Rolland), par rapport à ce qui s’était passé au Dauphiné, j’aurais été avec eux, ou pas loin, ce qui ne m’a pas aidé. »
« Un coup, je l’ai engueulé »
Christophe Kern s’est reconstruit durant l’hiver qui a suivi, même si la douleur était encore présente au Critérium international, fin mars 2012. Protégé pour le Tour de France, il a semblé relancé quand il est devenu papa d’un petit Tom fin juin, juste avant le départ à Liège.
Christophe Kern a contribué à la performance collective d’Europcar lors de cette Grand Boucle, surtout au succès de Pierre Rolland à La Toussuire. L’Alsacien ne s’y attendait pas. « Une analyse de sang montrait qu’un truc chutait, un signe de fatigue. Dans le premier col , je me suis retrouvé avec Pierrot. J’ai attaqué et j’ai vu qu’il avait suivi. Vu mes analyses, je me suis sacrifié et je me suis écarté. Il m’a dit ‘‘Il faut que tu restes’’. Après, j’avais de super jambes, j’ai bourriné et un coup, je l’ai engueulé. Si je ne l’avais pas fait, il se serait fait reprendre. Je n’ai fait que mon boulot d’équipier mis en valeur par sa victoire. Dans le dernier col, les gens me félicitaient et près de l’arrivée, ils me disaient ‘‘Pierrot va gagner’’. C’est ce qui est magique au Tour. »
Le succès, Christophe Kern l’a peu goûté, à quatre reprises seulement (lire son palmarès ci-contre). Et une étape du Tour de France lui fait défaut. Il en est passé tout près en 2009 à Arcalis, dans les Pyrénées, où Brice Feillu, qu’il a talonné, l’a éclipsé. « C’était grisant , retient-il. Ce n’est pas une déception, c’est la beauté du sport. Brice a su se faire oublier dans une montée très tactique avec Astarloza et Nocentini. Je me suis battu pour la gagne avec mes parents au pied du col. Ça reste un bon souvenir… Mais si je gagne, ça change aussi ma carrière. » Le maillot à pois endossé une journée n’a pas compensé.
L’histoire se répétait après le Mondial 1999 en juniors, « à une époque où Alain Vigneron (Ndlr : ancien pro devenu conseiller technique régional) nous suivait avec mon frère Jonathan ». Il avait levé les bras en remportant le sprint… alors que deux hommes avaient déjà coupé la ligne d’arrivée. « Sur le coup, j’étais déçu. Mais après, j’avais la médaille . »
« Passé inaperçu »
Malgré des adversaires suralimentés à une époque, Christophe Kern se montre philosophe. « I l y avait clairement deux cyclismes. J’ai fait une super Vuelta en 2005 face à des extraterrestres, même si j’ai dû abandonner parce que j’étais malade, et c’est passé inaperçu. On traitait les Français de fainéants. C’est frustrant, mais j’ai eu la chance d’être dans l’équipe de Jean-René (Bernaudeau) qui avait ses idées, puis Cofidis et le Crédit Agricole qui étaient dans la lutte. » Et la roue a fini par tourner. « L e vélo a changé grâce à la localisation avec une logique de gars devant », pointe-t-il.
Le Tour de France était le moteur de Christophe Kern, avec la frustration de ne pas en avoir pris le départ en 2006, à Strasbourg. « Une grosse déception. Je savais que ça ne se représenterait pas et je me suis renseigné pour une autre équipe, sinon je ne serais pas parti. Mais chez Cofidis ou au Crédit Agricole, j’ai connu d’autres façons de faire. Et puis, il y a eu mon premier Tour en 2009. Et tous mes coéquipiers sont restés des potes après les équipes ou le vélo. » Des liens tissés grâce à la personnalité affable de Christophe Kern.
L’Alsacien espère voir son avenir lié à la famille du cyclisme après un récent bilan de compétences avec le syndicat des coureurs, l’Union nationale des cyclistes professionnels (UNCP). Il n’a toutefois besoin de personne pour estimer sa carrière. « J’ai eu la chance d’avoir fait ce métier, que je voulais faire quand j’étais jeune, pendant douze ans, il ne faut pas non plus être trop gourmand. Ça aurait déjà pu s’arrêter plus tôt. Et quand j’ai fini par faire le Tour en 2009, c’était super. »
Avec quatre participations à la Grande Boucle, Christophe Kern a pris son Tour avant de le passer.
Test vélos électrique - a bon entendeur (suite)
Les sept experts viennent d’associations, de groupes de recherche ou de revues spécialisés dans les deux roues. Chacun a tester successivement l'assistance du moteur, la stabilité, le sentiment de sécurité et les informations affichées sur l’écran de contrôle.
Le test en laboratoire c,est passé sur un tapis roulant. Les vélos ont été lesté de poids simulant la présence d’un cycliste de 80 kg. Le test pédalage est remplacé par un moteur qui tourne de manière irrégulière afin de reproduire au plus près le mouvement d'un cycliste, qui a plus de force lorsqu'il pousse vers le bas.
Les test ont permis d'évaluer la durée d’autonomie de la batterie et les performances du moteur à 15 et 20 km/h, à plat et sur des pentes de différents degrés.
A l’extérieur, le trajet de des experts empruntaient également des pentes raides. De quoi mettre à l’épreuve les systèmes d’assistance électrique. Les différences de performances sont élevées, comme le remarque Marius Graber, journaliste technique et tests de Velojournal: "Les différences d’un modèle à l’autre sont énormes. Ici, il y a un tronçon très raide, et si on regarde la vitesse, j’arrive à grimper à 11 km/h. Avec d’autres modèles, c’est plutôt 7 ou 8 km/h. Cela dépend beaucoup du moteur."
Certains moteurs trop faibles peuvent réserver de bien mauvaises surprises, c’est ce que Martin Platter, l’un des 7 experts, a découvert: "Sur un long trajet en montée, si la vitesse de rotation du moteur est trop lente, cela provoque une surchauffe. Cela peut tellement chauffer que le moteur se coupe. C’est très énervant, parce qu’il faut alors pédaler soi-même en montée, avec un vélo qui est lourd."
Autre élément essentiel, le display, qui affiche entre autres le temps d’autonomie restant sur la batterie. Sa lecture qui peut poser problème, selon les modèles.
Certains vélos ont aussi des poids mal répartis, qui peuvent créer des déséquilibres dangereux. Dès que le cycliste relâche un peu la pression des mains, le guidon part dans de violentes oscillations.
Au final, chacun aura ses coups de cœur et ses aigreurs. Design et poids du vélo électrique, son soutien, sans oublier le prix vont aussi être déterminants.
On commence par les vélos électriques aux performances les plus faibles, autour de 2000 CHF.
Crosswave Comfort E 3.2 [RTS]CROSSWAVE "Comfort"
Son autonomie de 24,2 Km seulement risque d’être très gênante au niveau de son utilisation.
Prix: 1999 CHF
Note: 4,1 /6
Tell E-Novation [RTS]Tell "E-Novation"
Il s’est montré peu performant en soutien moteur et en praticité.
Prix: 1990 CHF
Note: 4,2 /6
Saxonette Comfort III [RTS]SAXONETTE "Comfort III"
Globalement, ses performances sont assez moyennes, mais meilleures que les deux vélos précédents, avec une autonomie appréciable de 52,4 km.
Prix: 2190 CHF
Note: 4,4/6
LEOPARD Prima ll [RTS]LEOPARD "Prima ll"
C’est le moins cher de ce test. Son autonomie n’est que de 42.6km, mais l’assistance de son moteur est bonne. C’est un vélo moyen à prix doux.
Prix: 1490 CHF
Note: 4.4/6
Ça peut être un choix quand même intéressant pour des cyclistes au budget modeste et qui recherchent un vélo pour des trajets assez courts et occasionnels. A vérifier tout de même auprès du vendeur s’il y a un service après-vente, des pièces détachées et la possibilité de remplacer la batterie quand il le faudra.
On passe maintenant au milieu du classement, avec des vélos qui ont des performances un peu meilleures :
CROSSWAVE Energy [RTS]CROSSWAVE "Energy"
Son autonomie mesurée de 40.7 km est très moyenne, sa force d’assistance au pédalage et sa tenue de route sont également moyennes.
Prix: 2790 CHF
Note: 4,5/6
WHEELER E-Ecorider [RTS]WHEELER "E-Ecorider"
Performances également moyennes.
Prix: 2990 CHF
Note: 4,6/6
Raleigh Dover HS8 [RTS]Raleigh "Dover HS8"
Il possède une bonne autonomie de 65 km, mais une force d’assistance moteur assez basse.
Prix: 2999 CHF
Note: 4,8/6
La force d’assistance du moteur est un des 5 critères principaux testés. Il vaut mieux avoir de bonnes jambes avec ce vélo.
Les notes augmentent, on arrive maintenant aux meilleurs, avec des notes supérieurs à 5 :
Stöckli eterra [RTS]Stöckli "eterra"
Ce vélo possède une autonomie de 55,5 km et une bonne assistance.
Prix: 3790 CHF
Note: 5/6
Villiger Blenio Plus [RTS]Villiger "Blenio Plus"
Son autonomie monte à 62,5 km, très bien. Il est globalement bien apprécié.
Prix: 3799 CHF
Note: 5/6
Bergamont E-Line CN360 [RTS]Bergamont "E-Line CN360"
Le moins cher des meilleurs. Il possède une autonomie de 54,3 km, mais il est meilleur en force d’assistance au pédalage. Un vélo tout de même également bien apprécié.
Prix: 3298 CHF
Note: 5/6
Flyer C 8.1 [RTS]Le Flyer "C8.1 next generation"
Il atteint une autonomie de 70,4 km, c’est la meilleure de ce test. Il est globalement très bien apprécié par nos testeurs.
Prix: 3790 CHF
Note: 5,1/6
Crespa Giro [RTS]Cresta "Giro"
C'est le meilleur et le plus cher de ce test. Il montre une bonne autonomie de 64,4 km et réalise globalement de très bonnes performances, en particulier dans sa force d’assistance électrique au pédalage.
Prix: 4198 CHF
Note: 5,3/6
Christophe Kern de retour au VCNA
Courant mars a eu lieu la première réunion des coureurs du Vélo Club Nord Alsace à Soultz sous forêts. A cette occasion on a pu voir à nouveau Christophe Kern revêtu du maillot rouge et blanc du club de son club de toujours, auquel il est toujours resté fidèle. Après une honnête carrière de coureur cycliste professionnel Christophe a décidé en fin d’année d’arrêter son aventure au sein du peloton de l’élite mondiale. Il a décidé de prendre une licence au V C Nord Alsace et pourrait, peut-être, recourir un jour dans le peloton régional. Une trentaine de licenciés qui ont posé pour la photo officielle de 2015.
La Rochelle 1974 une ville cyclable française en avance sur son temps
Economie circulaire une recette pour rendre la pratique du vélo encore plus écolo
Contrairement à l'économie classique, dite linéaire, l'économie circulaire a pour souci de produire des richesses en utilisant le moins et le mieux possible les ressources tout en limitant les impacts environnementaux. Adopter un tel modèle économique impose de changer nos modes de production et de consommation.
Médiatisé en 2007 lors du Grenelle de l'environnement, le mouvement est dorénavant lancé puisque, par exemple, en 2012, 75 % des consommateurs avaient acheté des produits d'occasion et que 54 % d'entre eux avaient préféré faire réparer leurs appareils ménagers, hi-fi et vidéo plutôt qu'en acheter de nouveaux (1).
Impulsant ces demandes et changements de comportement ou pour y répondre, de nombreuses initiatives voient le jour un peu partout en France mais un cycle vertueux nécessiterait un changement d'échelle. C'est pourquoi, afin que de tels projets se démultiplient, l'Avise, en partenariat avec l'Association des Régions de France et la Caisse des dépôts, vient de réaliser l'analyse de cinq initiatives socialement innovantes qui répondent aux objectifs de l'économie circulaire. Couvrant différents domaines comme l'éco-conception, la réparation, le réemploi, la réutilisation, le recyclage et la valorisation énergétique, ces études de cas détaillées s'adressent aux élus et techniciens des collectivités territoriales, aux professionnels de l'accompagnement ainsi qu'à tout porteur de projet désireux de lancer une activité d'utilité sociale.
City Downhill World Tour-Taxco
La ville mexicaine de Taxco servait de cadre à l'ultime manche du City Downhill World Tour. Mick Hannah nous sert de guide dans les ruelles étroites, les rangées d'escaliers et les impressionnants modules qui jalonnent le tracé. Mais le charme de la DH urbaine, c'est aussi l'imprévu et il n'est pas rare de voir un brave toutou vouloir assister au spectacle d'un peu trop près... Le matériel est également mis à rude épreuve puisque le pilote Hutchinson United Ride, un peu court sur un saut lors des entraînements, a cassé une pièce sur son prototype, l'obligeant à disputer la finale sur un vélo prêté par Polygon Mexique. A l'arrivée, "Sick Mick" a pris la 6e place, mais la deuxième au général final du City Downhill World Tour derrière l'indétrônable Filip Polc et devant Tomas Slavik.
Reportage DNA - école de vélo - 110 Illzach
Le tout jeune 110-Cyclisme Illzach a décidé de bâtir son avenir sur son école de vélo. On n’insistera jamais assez sur la place prépondérante prise par les clubs dans la formation des jeunes coureurs.
Reportage DNA Cyclisme - Les clubs et les jeunes - VCS Altkirch
